Domaines d’application

 

 

 

La micronutrition trouve ses applications dans les domaines suivants :

 

 

 

Médecine préventive :

Son objectif  : faire le point sur l’état de santé du patient, corriger si besoin des dysfonctionnements ou carences et établir un programme nutritionnel et d’hygiènes de vie afin d’être ou de rester en bonne santé le plus longtemps.

Définition de l’OMS de la bonne santé :

« La santé est un état de complet bien être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

Pré-conceptionnelle :

Elle a pour objectif d’optimiser la fertilité du couple et l’environnement nutritionnel du futur enfant pour lui procurer un capital santé optimum.

Pour les enfants :

On sait que l’environnement nutritionnel d’un enfant peut jouer sur son développement tant au niveau morphologique qu’intellectuel. L’alimentation peut impacter sur ses défenses immunitaires, ses allergies, son humeur, son attention, son sommeil….

Toutes les pathologies chroniques :

Allergie, immunologique, inflammatoire, neurologique

Dans toutes ces pathologies, l’alimentation peut jouer un rôle.

On sait que certaines attitudes peuvent aggraver, atténuer, ralentir  le processus de ces pathologies.

Les maladies cardiovasculaires, le syndrome métabolique, le diabète et l’hypercholestérolémie sont des pathologies dont le pronostic et le développement sont étroitement liés à l’alimentation.

Les cancers :

Il y a de plus en plus d’études et de preuves scientifiques qui démontrent que l’alimentation peut agir de façon synergique et même potentialiser le traitement médical pour lutter contre le cancer.

Les sportifs :

L objectif est de les aider à entretenir leurs corps très sollicités afin de maintenir leurs progressions et performances et d’éviter ainsi le surentrainement, les blessures et les contres performances.

La dépression, le burn-out  :

On sait que notre environnement nutritionnel influe sur le fonctionnement de notre cerveau et de ses neurotransmetteurs qui sont des molécules qui participent à la régulation de notre humeur.

© Dr Sarah MERRAN, tous droits réservés.
Dernière modification le 22 mai 2012